Un interview différent avec Lolita Morena

La célèbre activiste pour la cause animalière qui aide les refuges en Suisse, en Italie, au Népal ainsi qu’en Roumanie.
Lolita Morena est membre de la Protection Suisse des Animaux.
L’interview a été donnée à Galati, le 26 juin 2018 et en lisant cela, vous allez découvrir des détails au sujet de Lolita Morena que vous ne trouveriez nulle part ailleurs, même pas sur la page Wikipedia qui lui est dédiée.

Quel est le nom de votre tout premier animal domestique?

Goliath

Est-ce que vous vous considérez comme chef de meute?

Je dois oui. Je ne le veux pas nécessairement, mais je dois.

Quand vous adoptez, comment choisissez-vous votre prochain chien?

C’est le chien qui me choisit!

Quelle est votre meilleure arme pour faire faire à vos chiens ce que vous leur demandez?

J’utilise du Parfait. C’est une sorte de pâté en tube, que j’appelle l’arme fatale et c’est facile de s’imaginer pourquoi. Même Bo (un des chiens que Lolita a adopté de ROLDA) qui n’aime pas forcément les gâteries, adore cela!

Quelle a été la situation la plus dure que vous avez dû gérer en relation avec un animal?

Le moment où j’ai dû dire adieu à un de mes animaux. C’est un de ces moments où je sais que je ne peux rien faire pour changer la situation. Je n’ai aucun pouvoir de changer cela et c’est très dur de dire aurevoir pour toujours.

Comment voyez-vous la situation animalière dans 50 ans?

Meilleure. Les gens commencent à traiter les animaux comme des êtres vivants qui ressentent les douleurs, qui ont des émotions. Les gens commencent à considérer les émotions des animaux.

Quel est le plus gros défi que vous rencontrez quand vous présentez les chiens roumains pour l’adoption en Suisse?

Le simple fait qu’ils soient des chiens roumains. Des chiens étrangers. Les Suisses pensent que les refuges sont pleins d’animaux. Pourtant, 80% des chiens présents en refuge sont en pension. Il ont des propriétaires et ils retournent à la maison, ils sont en refuge la journée ou lorsque leurs maîtres partent en vacances. Les refuges ont également des difficultés à placer des chiens comme les pitbulls (qui sont d’ailleurs interdits dans certains cantons) ou de placer les chiens de grande taille pour lesquels les gens doivent payer des taxes supplémentaires ou doivent participer à des cours d’éducation plus contraignants.

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